Création d’e-book | Emma (éditions Le Muscadier)
- Création de la maquette numérique
- Intégration du texte et de la couverture
- Création des fichiers epub et mobi
- Optimisation CSS
- Validation par l’epubCheck
Auteur
Tess Corsac
Éditeur
Le Muscadier
Directeur de la collection
Espelette
ISBN
979-10-96935-10-9
ISSN
2493-6170
Conversion d’un ouvrage de littérature jeunesse aux formats epub et mobi
Emma est le tout dernier opus de « Rester vivant », collection phare des éditions Le Muscadier, dont je réalise la création des ebooks depuis presque deux ans.
Contrairement à ce que le titre et la couverture laisseraient penser, Emma n’est pas le nom de l’héroïne du livre, mais celui que porte « le bourreau de l’espèce humaine » : un virus qui, « en décimant la population mondiale […] a profondément modifié la définition même d’humanité ». L’ombre de The Walking Dead ou The Road plane assurément sur ce très beau texte, mais le contexte post-apocalyptique n’est que le décor permettant de parler d’autre chose : la manière dont on prend soin de l’autre.
La création de la version numérique du livre m’a obligé à rechercher un moyen de résoudre un problème d’affichage connu : la gestion des sauts de page par le lecteur d’ebook Readium. J’ai rédigé un article en présentant la solution que j’ai trouvée en espérant qu’elle serve à d’autres éditeurs numériques confrontés à la même difficulté.
J’ai eu la chance de rencontrer, au Salon de livre jeunesse 2017, la jeune auteure de ce roman d’anticipation, Tess Corsac, dont ce premier livre a été accueilli avec enthousiasme par la critique :
Dans un monde où la confiance en l’autre a disparu, Emma a changé tous les repères des survivants. Ici, pas de monde à sauver, mais une humanité à tenter de garder vivante, et un sens à trouver dans cet univers d’injustices. Un monde allégorique que le lecteur découvrira à travers le regard d’une jeune fille marchant dans les restes d’une civilisation brisée par la peur de la souffrance et de la mort. Quel adulte peut-on devenir dans une société qui ne voit plus l’humanité comme un acquis, mais comme un privilège vulnérable ?